Remise en état d'un étrier ID19F

 

J'ai décidé de profiter de l'occasion de la réfection des étriers de frein du plus vieux break ID19F connu à ce jour de mon ami Othello, pour refaire une page plus complète sur les étriers de freins 1ère génération.
Le précédent article que j'avais réalisé lors de la réfection des étriers de sa DS19 n° 000425 reste vrai, mais il est moins complet que celui qui va suivre.
Étant donné que c'est moi qui ait aussi eu en charge la réfection des étriers de son break , j'ai réalisé davantage de photos (environ 250) et 4 mini vidéos pour vous proposer un article plus détaillé sur la restauration de ces magnifiques pièces d'orfèvrerie.
Ces merveilles de technologie (les premiers au monde à équiper en grande série une voiture) ont besoin de se refaire une santé d'étanchéité, de dégrippage des cliquets etc... après plusieurs dizaines d'années de bons et loyaux services, ou bien lors de la remise en route d'une voiture arrêtée depuis de nombreuses années.
Ces étriers comme je l'ai écrit plus haut, sont de véritables pièces d'orfèvrerie pour celui qui apprécie un peu les choses techniques. Que dis-je, ce sont de véritables oeuvres d'art à élever au rang du Panthéon des Esthétismes Industriels.
Mais assez parlé, passons aux choses sérieuses avec quelques petits conseils issus cette fois-ci de mon expérience.
Tout d'abord, il est primordial de s'équiper de la fameuse clé 2129-T, d'une très bonne clé à tuyauter de 9, d'un outil de dentiste pour extraire les joints toriques, d'un grattoir pour nettoyer les gorges des joints, d'une pince à circlips extérieur, d'un taraud M9x125 et enfin se fabriquer un extracteur de douilles à aiguilles. Se préparer un espace de travail dégagé et propre, un carnet pour prendre des notes ou un APN pour faire des photos et de quelques petites boites pour ranger les pièces a démonter.
Pour ceux qui souhaiteraient faire refaire leurs étriers, je suis à leur disposition.

 

AVERTISSEMENT :

Toutes les informations présentées dans cet article ne doivent être prises que ce pour ce qu'elles sont, c'est à dire à titre INFORMATIF et non pour une VERITE ABOSULE. Je ne saurais être tenu responsable si quelque chose se passait mal dû à une erreur de présentation de ma part ou de mauvaise interprétation de la vôtre.

Clé multi-dents à cardan, réf citroën 2129-T

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Extracteur de douilles à aiguilles (à fabriquer soi-même).

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Clé plate de 10 modifiée.

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Outil de dégagement des joints toriques.

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Fourchette de dégagement du cliquet réf citroën 2128-T.
Rem: cet outil n'est pas indispensable

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Taraud M9x125.

 

Deux étriers en attente de restauration complète. Tout est prêt pour l'opération. Espace de travail propre et dégagé, boites de rangement à dispo.

Dépose du support d'étrier AV.

 

 

Parfois il arrive que ce dernier vienne en plusieurs morceaux. Ici le silent-bloc s'est désolidarisé du reste. C'est d'ailleurs assez courant.

Il faudra ensuite extraire la bague qui est généralement soudée par la corrosion à l'étrier.

Desserrer l'écrou du système de retenue des plaquettes de frein.

Dévisser la vis pointeau.



Extraire le doigt. Il est ici bloqué par la rouille!!!.





A l'aide de l'outil ......T extraire les plaquettes de frein.

Desserrer l'écrou du système de blocage de la plaquette coté patin mobile cette fois.

 

Dépose de la vis.

 

Dépose du doigt coté patin mobile.

 

On peut aussi extraire la plaquette en retournant l'étrier et frappant dessus avec un marteau.

Dégripper si nécessaire les vis de maintien des cales de guidage du patin mobile.

Dépose des vis de maintien des cales de guidage du patin mobile.


Ramener en position initiale le patin mobile à l'aide de la clé 2129-T.


Dégager la cale de guidage à l'aide d'un tournevis.

Sortir ensuite la cale avec une pince à becs fins.

On procède de la même façon pour celle opposée.









La patin mobile est presque prêt à sortir.

Dégager les deux cales AV et AR de réglage au niveau du patin mobile.
Attention à les repérer car elles correspondent à un jeu de fonctionnement précis.

Dégager ensuite le patin mobile.





Voilà le patin mobile extrait. Il va falloir sortir ensuite les pistons.







Dépose des colonnes d'appui. On soulève un peu pour dégager le clips de maintien.

Puis on sort ensuite la colonne d'appui.



Extraire ensuite les pistons.











Le patin mobile sans les pistons.





Déposer les joints toriques à l'aide d'un outil fin et dur. Attention de ne pas abîmer les gorges des joints sous peine de faire des rayures qui provoqueraient des fuites ultérieures.








Nettoyer les gorges des dépôts éventuels, dus à un début de corrosion de l'alu. Voir ici les dégâts plus importants qui peuvent apparaître.

Procéder ensuite au nettoyage du patin mobile.



Des pistons grippés m'ont obligé à utiliser une pompe à graisse reliée à un tube lui-même relié au patin mobile pour les sortir.








Dépose du support de fixation AR. On desserre la vis de pression.



Dépose de la goupille.


On pousse ensuite sur l'axe pour l'extraire.

On sort le support AR.


Déposer la vis de pression.

Déposer la rondelle d'appui (ou grain).

 

Il faut ensuite extraire la rotule. Cela se fait en trois étapes.

1 - Faire pivoter de 90° sur elle-même la rotule dans le plan vertical.

2 - Puis ensuite à nouveau de 90° dans le plan horizontal.

3 - Enfin, sortir la rotule.


Le support nu.


Dépose de la vis de maintien du doigt de verrouillage du cliquet.

Attention de retenir le ressort avec un doigt lors de l'extraction de la vis.


Introduire ensuite une lame de tournevis au niveau du cliquet pour pousser le doigt de verrouillage du cliquet.

L'ensemble du doigt de verrouillage commence à sortir.


Sortir le doigt à l'aide d'une pince à bec rond s'il résiste.

Prenez bien soin de repérer l'orientation du doigt de poussée lors de l'extraction.

Le doigt est sorti. Récupérer ensuite les deux ressorts qui sont à l'intérieur, la rondelle d'appui et le petit poussoir en laiton.

Comme souvent, le doigt est grippé dans son fourreau. Le chasse goupille et le marteau aideront à sa sortie.

On distingue quelques traces d'oxydation responsables du grippage.

Dépose du levier de cliquet. Desserrer le contre-écrou à l'aide de la clé de 10 modifiée.

Desserrer ensuite la vis d'articulation du cliquet.


Déposer la butée du levier de commande.


Le mieux est de soulager la butée en manoeuvrant le levier de façon à ce qu'il ne soit plus en appui sur celle-ci.

Dépose du support de tuyau de frein.


Sortir la vis et le cliquet.


Manoeuvrer le levier pour dégager le ressort de rappel.

Sortir le ressort de rappel.



Dépose de la vis de maintien du ressort. On desserre le contre-écrou en premier.

Ensuite on dépose la vis.



L'opération suivante est la dépose de la roue dentée et de son poussoir.

Déposer le clips de maintien du levier de commande.

Ne pas hésiter à déformer le clips car il sera remplacé par un autre.

C'est la seule façon de les sortir.


Dépose de la rondelle d'appui.


Pousser ensuite sur le levier pour l'extraire.

Extraire la roue dentée.


Une belle roue dentée et son système de réglage.

Le levier. Tout ça est bien rouillé...


Déposer ensuite les cages à aiguilles "NADELLA" à l'aide de l'outil fabriqué spécialement pour.






Bien repérer la roue dentée, la vis et l'écrou-poussoir, car il ne sont pas identiques sur l'étrier D et G.

Ici il s'agit de l'ensemble pour l'étrier Droit. Il y a un repère (une gorge) usinée sur la tête cylindrique de la vis pour la repérer. Étant donné que le pas est à gauche on retrouve facilement son écrou-poussoir.

Dépose de la rondelle d'appui du levier.


 

Dépose du circlips.


 

Les pièces revenues de nettoyage, et traitements divers. Tout a retrouvé l'aspect du neuf. C'est incroyable.


Il y a presque 150 pièces entre les deux étriers D et G.

 

J'ai dû dé zinguer à l'acide chlorhydrique les bagues qui sont situées dans les leviers de cliquet car le zingage crée une sur-épaisseur qui empêche d'y passer ensuite la vis. Ces bagues sont en bronze. Attention de ne pas les détériorer lors de la dépose-repose.

Les patins mobiles ont été microbillés, puis je passe ensuite un vernis incolore mat protecteur.

Même traitement pour les étriers. Ça facilitera une conservation de l'aspect et le nettoyage ultérieur aussi.

L'heure du remontage a sonné. On commence par la repose des nouvelles douilles à aiguilles.

Poser l'étrier dans un étau muni de mordaches en plomb.

Repose des douilles à aiguilles.


J'utilise le même outil pour la repose qu'à la dépose.

Prendre soin que les douilles rentrent d'environ 5/10 par rapport au plan d'appui des leviers.

Remontage du système de réglage du frein de parking Droit. La vis a bien son repère usiné sur la tête (une gorge).

Déposer un peu de graisse dans l'écrou-poussoir.


Positionner ensuite la roue dentée. Il est inutile d'y mettre de la graisse.

Visser la vis dans l'écrou-poussoir. Pas à gauche!!!.

Le nouveau système reconditionné.


Remontage ensuite du support d'étrier AR.



Le support est d'origine brut, sans aucune peinture. Par soucis de propreté et d'ésthétisme, les supports ont été peints en cataphorèse.

Il faut passer un coup de taraud pour retirer la sur-épaisseur créée par la cataphorèse (20 microns).

Ça ne parait pas, mais si on ne le fait pas, on ne pourra pas revisser la vis.

La vis aussi à eu droit à son traitement de surface, ici le zingage noir.

Repose de la vis en ayant préalablement graissé le filetage.

Graisser ensuite la portée de la rotule.

 

Pose de la rotule.

On procède comme lors de la dépose.


Positionner ensuite la fente de la rotule perpendiculairement à l'axe de la vis.

Préparer le grain d'appui.


Graisser la surface d'appui coté rotule.

Graisser la surface d'appui coté vis .

Repose du grain.

Voilà le système du support AR reconditionné.


Préparation du levier et du clips. Lui aussi a eu droit à son traitement de cataphorèse.

Repose du clips.



Cela donne ceci une fois en place.



Voilà à quoi sert le clips sur le levier. Il permet au système de réglage de frein de parking d'être solidaire du levier.

Graissage des douilles à aiguilles.



Pose de la rondelle d'appui du levier.


Mise en place du levier.


Ici assemblage des leviers pour l'étrier Gauche.

Cela donne ceci.




Il faut remplacer les anciens circlips sans oreilles par les nouveaux. C'est pour cela qu'on peut détruire les anciens sans risque lors de la dépose.

Pose de la rondelle d'appui.




Pose du nouveau circlips.


On contrôle que le clips sur le levier est bien en place.

On vérifie aussi le clips situé en milieu de levier.

Préparation du ressort de rappel.

Monter l'écrou sur la vis.

Pose de l'ensemble.

Visser.


Procéder au réglage pour laisser la place au ressort.

Serrer le contre-écrou.


Préparer la butée.

Montage de la rondelle grower.

Graisser la vis.

Enfiler la butée sur la vis.

Pose de l'ensemble.

Approcher la vis sans la serrer.

Accrocher le ressort coté levier.

Tendre le ressort à l'aide d'un fil de fer enroulé autour d'un tournevis et l'accrocher.

Ça se monte doucement, mais sûrement.

Préparation du support AR.

Graisser l'alésage de la rotule.

Graisser les alésages dans l'étrier.

Présenter l'axe et le passer.


Présenter le support et introduire l'axe.


Attention à orienter le trou de l'axe vers l'extérieur (coté ressort).

Goupiller.

 

La goupille en place.

L'étrier est prêt à recevoir le patin mobile.



Préparation du patin mobile.
Comme vous pouvez le constater il sera équipé de joints supportant le LHM, car ce break tournera au LHM.

Tremper les joints dans le LHM.




Pose des joints.

Bien mouiller le logement du piston.

 

Lubrifier aussi le piston.



 

 

 

 

Présenter le piston dans son logement.

 


 

 

 

 

J'utilise la technique suivante pour faire rentrer le piston dans son logement.
Je positionne le piston dans l'étau (bien sûr avec des mordaches en plomb) et je serre légèrement sur 2/3 de sa hauteur. Puis je présente le patin mobile en appliquant simultanément une poussée et un mvt de rotation. Ceci a pour effet de passer le joint torique plus facilement et sans rien détériorer car tout se fait à la main avec un minimum de pression.

Une fois le joint passé, je sors le patin mobile et termine le travail avec la paume de la main.

Les pistons en place. Je vérifie ensuite que tout coulisse bien en les tirant avec une pince puis les repoussant à fond.

 

 

Préparation des colonnes d'appui dans les pistons.


 

Graissage des logements.

Pose des colonnes d'appui.

Il faut sentir un petit "clic" qui signifie que la colonne est en place.

Voilà ce que cela donne une fois en place.


Mise en place de la roue dentée. Prendre soin de vérifier qu'elle est bien accrochée au clips.

Graisser le logement qui recevra l'écrou poussoir de la roue dentée.


Mise en place du patin mobile.





On vérifie que la roue dentée est toujours bien accrochée sur le clips de l'axe du levier de commande.

Préparation des cales de réglages et de guidage du patin mobile.

Graisser les cales et les guides.


Mise en place des cales trouvées au démontage.

Mise en place des guides du patin mobile.




Mettre les vis de bloquage des guides en place.

Serrer modérément. Vérifier ensuite le bon coulissement du patin mobile dans l'étrier (vidéo ici).

Préparation du cliquet.

 

Graisser la bague du cliquet.



Mise en place de la vis d'articulation.


Mise en place de l'écrou sur la vis.


On ne le serre pas davantage pour le moment.

Mise en place du cliquet équipé.

Mise en place du support de durit.

Serrage de la vis.

Serrage du contre-écrou qui permet de bloquer le support. S'assurer aussi que le cliquet est libre autour de la vis d'articulation. Un jeu de 3/100ème à 5/100ème est préconisé de manière à permettre sa rotation.

Vérifier l'alignement du support qui doit être parallèle au bord supérieur de l'étrier.

 

Préparation du doigt de verrouillage du cliquet.

 

 

Le doigt de verrouillage devra être introduit dans ce sens. C'est impératif pour le bon fonctionnement de ce dernier.

Graissage du doigt de verrouillage.




Pose du poussoir.




Enfoncer le poussoir avec une tige fine.


Il doit venir en butée à l'autre extrémité comme ceci.

Pose du petit ressort.


Pose de la pastille d'appui.

Ça donne ça.

Pose du second ressort.

Prendre ensuite le guide qui recevra le doigt de verrouillage et le graisser.


Introduire le doigt de verrouillage et vérifier le bon coulissement de ce dernier. Rien ne doit le gêner.

Introduire l'ensemble en faisant bien attention à l'orientation du doigt de verrouillage

S'aider une petite lame pour guider l'ensemble et veiller à ce que le cliquet soit pris dans la fourche du doigt de verrouillage et repose bien sur le poussoir.

Préparation de la pose de la vis de retenue du doigt de verrouillage.




S'aider d'une lame de tournevis en poussant sur le ressort pour introduire ensuite la vis de retenue.



Serrer ensuite la vis jusqu'à être en butée sans forcer. Vérifier que le doigt de verrouillage coulisse bien, en agissant sur le bout du cliquet
(vidéo ici).

 

Réglage du jeu de la butée excentrique du levier de commande.
A l'aide de la clé 2129-T il faut mettre une dent de la roue dentée en contact avec le poussoir du doigt de verrouillage. Pour cela on tourne la clé doucement dans le sens horaire (ici sur l'étrier gauche) et dans le sens trigonométrique(anti-horaire) pour le droit.

Réglage du jeu "J" entre 0,1 et 0,4 mm à l'aide d'une cale de réglage.

 

 

REGLAGE DU JEU ENTRE LEVIER DE COMMANDE ET LA BUTEE EXCENTRIQUE

ATTENTION: il faut décrocher le ressort de rappel du levier de commande avant tout réglage.

Le patin mobile n'étant pas au contact de l'étrier (manoeuvrer plusieurs fois le levier de commande pour faire avancer le patin) mais au contact du poussoir, s'assurer que le doigt de verrouillage a repris sa place dans le creux d'une dent. Engager la clé 2129-T (à cardan) dans le trou de passage sur le coté de l'étrier, s'assurer qu'elle engrene dans la roue de réglage. Tourner la clé pour faire plaquer la dent de la roue contre le doigt de verrouillage. Tout en maintenant cette pression, agir sur le levier de commande vers l'extérieur (sens dans lequel le levier viendrait au contact de la même dent de la roue de réglage que le doigt de verrouillage). A ce moment, régler la butée excentrique pour qu'à cette position il y ait un jeu de 0,1 à 0,4 mm entre la butée excentrique et le levier. Serrer la vis. Dégager la clé 2129-T. Manoeuvrer le levier de commande et vérifier que pour une course complète du levier, le cliquet a une course d'une dent de la roue de réglage(vidéo ici). Vérifier également que le doigt de verrouillage reprend sa place dans le creux d'une dent, sinon refaire le réglage de la butée excentrique.
Avancer le patin mobile et le faire reculer à fond (clé 2129-T) en l'accompagnant à la main. La patin doit pouvoir venir en butée sur l'étrier. Remonter ensuite le ressort de rappel du levier de commande.

Serrer la butée.


Re vérifier le jeu.


Accrocher le ressort et le tendre à l'aide d'un fil relié à un tournevis.

J'ai volontairement choisis de ne pas remonter le ressort dans le même sens qu'à l'origine, car il se produit une interférence entre le bout du ressort et la tête de vis de la butée. La place est comptée.

On vérifie que tout est en place.

 




 

 










Préparation du système de maintien des plaquettes de frein.

Graisser chaque vis.

Montage ensuite de l'écrou.

Montage de la vis sur le doigt.

Les deux ensembles montés.

Graissage du doigt.

Montage du doigt coté patin mobile.

Montage du doigt coté patin étrier.


L'étrier est quasi terminé maintenant.


Il reste à ré-assembler le silent-bloc du système de fixation AV.

Montage de la bague caoutchouc dans le corps.

Ça donne ceci.


Montage de la bague intérieure.






Le silent-bloc assemblé.



Pose du silent bloc sur l'AV de l'étrier. Prendre soin de graisser la portée du silent-bloc.

Une petite série de photos AVANT/APRES

pour donner un petit aperçu de ce qu'étaient

les étriers et de ce qu'ils sont devenus.