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DS19 1960

Dans cet épisode, je me suis attaqué pour la première fois à la réfection d'un carburateur. Bon d'accord, je ne lui ai pas fait subir tous les tests que font les pro, parce que je ne suis pas un pro mais un vulgaire amateur. J'avais quand même prit contact avec une société spécialisée dans la réfection des carburateurs, et quand je leur ai parlé du mien, ils m'ont dit que c'était trop vieux, qu'ils n'avaient plus rien pour les refaire. J'ai donc décidé de m'y atteler, par contre, une fois la voiture opérationnelle, j'irais les voir afin qu'ils me le règle correctement.
Mon auto est équipé d'un carburateur de marque Zénith-Stromberg. En lisant le dico de réparation et regardant les schémas, j'ai vite vu qu'en fait, ce type de carburateur est assez simple à réviser. Pas de pompe de reprise (cela n'existait pas à l'époque, enfin pas dans la forme que l'on connait avec une membrane en caoutchouc), pas de superflu anti pollution etc... Rien que du basique, corps, gicleurs en pagaille et joint papier. Il a quand même fallu refabriquer 2 joints de cuve et corps, tringler les gicleurs, souffler les conduits divers et variés etc... Le plus dur fût de ne pas perdre de pièces lors du passage chez le zingueur et bien se souvenir de qui va où et avec qui. Mais l'APN a chauffé et l'imprimante aussi, et je m'en suis sorti haut la main. Vous n'aurez que le démontage dans cet épisode, le remontage sera présenté plutard lors du retour des pièces de la zinguerie. Après cela, le démontage des klaxons sera un jeu d'enfant, ainsi que le rhabillage de la boite de vitesse.
Bon c'est pas tout, mais faut que ça carbure si on veut être prêt avant l'ICCCR 2008 à Rome.

 

14 Mai 21h57

Une grande première pour moi (encore une me direz vous...), je m'attaque à la révision de mon carburateur. N'y connaissant pas spécialement grand chose en rénovation de carburateur, je m'étais adressé à mon réparateur habituel (parce que c'est un métier que de refaire un car bu et de le régler), mais devant son impossibilité à trouver de quoi le refaire, perdu pour perdu, je me suis dis, "révise le toi même, tu verras bien ce que cela donne...".
C'est donc non sans une appréhension certaine que je me lançais dans ce nouveau défi. Bien sûr, j'ai potassé mon cher dico de réparation avant d'attaquer quoi que ce soit.

C'est donc après l'étude minutieuse des plans du carburateur que j'ai pris mon fidèle APN et commencé à mitrailler le carburateur sous toutes les coutures afin de pouvoir le remonter plutard.

En effet, les plans du dictionnaire de réparation me sont précieux, mais ils ne sont pas suffisants, car il y a qd même un nombre conséquent de pièces.
Je tiens à ajouter que malgré le fait que je n'y connaisse pas grand chose en matière de réfection de carburateur (celui-ci une fois révisé par mes soins, sera remonté sur l'auto), tout ce petit monde partira pour un contrôle chez mon carburologue. Je ne peux qd même pas me passer de cette étape importante, ne serait-ce que pour régler la richesse et les ralentis des deux corps.

 

 

 

Cette photo est très importante car comme je vais démonter les papillons, il faut tenir compte de leur sens de montage, car si on regarde bien, pour le plus grand, il y a un petit trou de percé et pour le petit, il y a un coup de poinçon. Ces repères me serviront à les remettre en place dans plusieurs jours, sans me tromper...

 

 

 

 

La séance paparazzi se termine sur ce magnifique cliché prit à l'insu du plein gré du carburateur... Le démontage va enfin pouvoir commencer.

Bon..., encore un piratage de ce satané groupuscule des régulateurs de tension fous, opposé aux fils électriques neufs et piqués aux OGM...

Vous êtes gentils les cocos, il y a des gens qui voudraient faire des restaurations sérieuses ici, allez vous faire refaire ailleurs... Non di diou!!!
Bon Paolo, la prochaine fois que tu uses de la mémoire flash pour prendre ces couillons en photos, je te la fais bouffer la carte mémoire...

Le démontage peut enfin commencer après cet intermède malheureux.
J'ai pris la peine d'imprimer quelques clichés qui me serviront à noter exactement quel type de vis et rondelle vont où.
Dépose des vis de fixation du support de correcteur de ralenti accéléré.

Dépose de la vis du serre gaine.

Dépose de la patte support de serre gaine.

Dépose de l'agrafe supérieure de maintien de tige de liaison.

Dégagement de l'agrafe du levier de commande de la "pompe de reprise".

Dépose de l'agrafe inférieure de la tige de liaison.

Dépose de la tige de liaison.

Dépose de l'agrafe de la tige de liaison de volet de starter.

Dépose de la tige de liaison du levier de papillon.

Dépose de la tige de liaison du levier de volet de starter.

Dépose des vis de couvercle supérieur.

Dépose du couvercle supérieur.
Attention à ne pas endommager le joint papier du couvercle, car il va falloir le refabriquer.

Desserrer la vis d'arrivée d'essence.

Dépose de l'ensemble filtre+ raccord orientable.

On desserre ensuite l'axe du flotteur.

Dépose de l'axe du flotteur.

On extrait délicatement le flotteur. Nous avons encore ici affaire à des flotteurs en laiton donc moins fragiles que les récents en plastique. Il faudra en profiter pour vérifier son étanchéité en le plongeant dans un récipient d'eau et vérifier l'absence de bulles.

On revient au couvercle supérieur pour terminer son déshabillage. Dépose de la goupille qui assure la liaison de la tige de "pompe de reprise" sur le levier.

Dépose de l'axe d'articulation du levier de commande de pompe de reprise.

Attention lors de la dépose complète de l'axe, car il y a un ressort dont il faudra bien repérer son sens de montage.

On soulève délicatement de levier pour...

Extraire en douceur le ressort, qui ira directement chez le brunisseur.

Dépose du levier de l'axe de la "pompe de reprise".

Dépose de l'axe de" pompe de reprise".

Dépose de l'axe d'articulation du levier de commande de volet de starter.

Dépose du ressort de rappel de volet.
A ce stade, c'est est terminé pour le couvercle. Le volet de starter restera quant à lui en place, je n'ai pas trouvé comment le sortir sans rien abîmer.

Dépose des vis du corps de carburateur.

Dépose du corps de carburateur.

Dépose du circlips de commande de starter.

A l'aide d'un tournevis, on dégage l'axe de liaison entre les différentes pattes.

Dépose de l'axe de liaison.

On desserre l'axe de rotation des leviers.

Dépose de l'axe.

Dépose du levier.

Dépose du ressort et de sa bague d'appui.
Attention à bien noter la position du ressort.

Observez les dépôts en tout genre qui freinent le mouvement du ressort dans sa bague. Comment voulez vous que le ressort fasse son travail????? J'ai dû pas mal le triturer pour réussir à le sortir.

Dépose de l'écrou de maintien de la biellette du petit axe de papillon.

Dépose du levier.

Dépose de l'écrou de maintien de la bride d'accouplement de la commande de carburateur.

Dépose de la bride.

Dépose du levier. On s'aide d'un tournevis pour le dégager

Dépose des leviers suivants.

Re......

Re, Re, Re, ...

Dépose d'une cale de réglage. Prendre soin de ne pas la perdre et mesurer son épaisseur.

Dépose d'une vis de butée et de la butée.

Dépose des joints d'étanchéité des axes de papillon. Faire très attention à ces joints, car ils sont devenus introuvables.

On termine avec la dépose de la dernière rondelle...
Il ne reste plus qu'à envoyer le tout à la zinguerie et au brunissage pour que le carburateur retrouve un aspect neuf.

Dans la suite de mes délires de démontage, j'ai décidé cette fois-ci de reconditionner mon relais de démarreur.
Eh oui, il ne présente plus un aspect en ligne avec la qualité du reste. De plus, les fabrications modernes sont différentes, donc cela choque pour les puristes. Je vais donc le nettoyer à la brosse à dent et avec de la lessive, puis ensuite je le démonterai pour récupérer les quelques pièces à zinguer.

Dépose de la protection en plastique. Cela permet d'atteindre des vis.

Dépose des vis de maintien du câble d'alimentation du démarreur.

Voilà le genre d'horreur qu'on peut découvrir. La rosace qui sert au passage du courant entre la batterie et le fil du démarreur est complètement bouffée à cause des arcs électriques provoqués lors de la rupture du contact. Il va falloir la changer. Heureusement, j'ai un peu de vieux stock d'avance avec des relais usagés, bon pour la récupe de pièces.

Il faut faire "sauter" les rivets pour dégager le corps de l'électro-aimant.

Dégager ensuite le corps métallique. Cette opération est très risquée parce que le corps est collé à la bobine de l'électro-aimant. Il faut donc y aller doucement sous peine d'arracher les fils de liaison de la bobine de l'électro-aimant.
Attention à ne pas perdre de petites pièces notamment un ressort et un doigt en bakélite.

On voit bien ici, le collant au fond du couvercle. C'est l'opération la plus délicate à mon sens à réaliser pour réviser un relais de démarrage. Dans quelques temps, je vous ferais un petit article technique détaillé sur sa réfection complète.

Au tour de la pompe à essence de se voir triturée, démontée et révisée du point de vue cosmétique (car elle est neuve d'époque).
Dans un premier temps, je vais retirer le système qui assure le maintien du couvercle. Il faut donc dévisser l'écrou moleté.

Basculer ensuite l'étrier.

Dépose du couvercle, il faut récupérer le système de filtration interne et le ranger dans une boite.

Dépose des vis du limiteur de course du levier d'amorçage.

Prendre soin de repérer ces deux vis, car elles sont plus longues que les autres.

Dépose du limiteur.

Une fois le limiteur retiré, il faut placer la pompe comme ceci pour pouvoir retirer ensuite le levier d'amorçage.

Le problème avec le levier d'amorçage, c'est que bien que neuf, le zingage a foutu le camp depuis longtemps.... La seule solution c'est donc de le déposer, mais pour cela, il faut détruire le sertissage qui le maintien en place.
Donc petite visite de "LULU la perceuse", et on commence à attaquer le sertissage. Compte tenu de la difficulté de le faire correctement avec un foret, j'ai opté pour une solution plus radicale...

Le bon vieux ciseaux à bois de grand papa et vaz-y Milou. Je m'en sers comme d'un burin à dégrafer de carrossier!!!

On fignole à la lime (à épaissir) afin de faire disparaître le restant de sertissage. Reste plus alors qu'à déposer le levier et son ressort de rappel et s'en sera terminé pour elle, jusqu'à son remontage.

Ne pouvant plus rien faire sur les deux ensembles précédents, je vais m'attaquer à la remise en état des avertisseurs sonores en commençant par la dépose des vis de fixation.
Ici, repérage du branchement du relais.

Une fois les vis retirées, on peut procéder à l'ouverture. Mais que va-t'il sortir de ce chapeau, un lapin, un cafard une méduse (ah non!!!, pas la méduse ça pique...), eh non, ce sera une magnifique...

....membrane oxydée sur le bord.

Voilà à quoi ressemble l'intérieur. Deux électro-aimant font se déplacer une barrette reliée elle-même à la membrane par l'intermédiaire d'un doigt(non deux ça ira... dit-elle un peu génée...).

Différentes vues du même avertisseur. Comme ça, on contente tout le monde...

 

 

Prise de cote afin de remettre la barrette au même niveau. Ça évitera de galérer à trouver le bon réglage pour la membrane.

Dépose des écrous de maintien de la barrette.

 

Lorsque vous retirerez les vis, prenez garde aux éventuelles cales de réglages.

Un petit shoot pour repérer l'ordre de montage.

Une autre un peu plus précise.

Dépose de la borne d'alimentation de l'avertisseur.

Attention aussi ici à ne pas égarer les rondelles isolantes et crantées.

Voici un avertisseur complet, mais totalement rouillé qui ira sur la DS19 une fois la réfection réalisée.

La grille étant bien oxydée, j'espère qu'au sablage et peinture époxy elle ne partira pas en lambeaux.

Une autre vue de dos, ce n'est guère mieux. Mais dans quelle galère me suis-je mis??????

Dépose des pattes de fixation.

Bis répétita...

Dépose des vis du couvercle.

Déposer le couvercle...

Dégager la membranes.

Un dernier petit coup d'oeil sur la fraîcheur de la membrane.

Dépose de la rondelle de réglage et de la protection en aluminium.

Dans cette photo et celles qui suivent, on retrouve les différentes membranes.

 

 

Préparation des axes de fixation des relais de direction. On pose d'abord la rondelle cuvette.

Un coup de lotion anti-bronzage pour l'hivers.

Pose du relais de direction.

Mise en place de la vis.

Pose de l'écrou.

Pose des rondelles de calage

Pose de la vis de maintien.

Pose du fil de masse entre caisse et aile AVD.

Pose du support d'avertisseur.

Pose du fil de masse entre caisse et aile AVG.

Serrage des vis.

Montage d'une patte de maintien des tuyaux hydrauliques. Elle arrive un peu sur le tard, mais l'important c'est d'y être...

Pose du support de bobine.

Serrage des vis.

 

Pose d'une patte pour guider les fils au niveau du bloc hydraulique.

Pose de la bobine neuve.

Serrage.

Pose du passe-fil.

Connexion de la bobine au faisceau électrique.

Serrage des écrous.

Nous voici maintenant avec le système de ressort du point "ZERO" qui donne le cap de la ligne droite dans une DS.

Pose de première goupille.

Sertissage de la goupille.

Pose de la rondelle de butée.

Pose du roulement neuf et étanche, car celui d'origine ne l'était pas.

Pose de la seconde rondelle butée.

Pose de la seconde goupille.

Sertissage de la goupille, il ne reste plus qu'à installer le tout sur le châssis.

Mise en place d'un caoutchouc.

Enfiler la bride de maintien dans le ressort, puis y introduire le bout de caoutchouc.

Pose de la vis de réglage de dureté.

Pose du ressort équipé.

Mise en place de la vis de serrage de la bride inférieure.

Pose de la bride supérieure.

Mise en place des vis brunies à tête légèrement creuse et sans marquage.

Serrage de la bride supérieure.

Serrage de la bride inférieure. On prendra soin de ne rien bloquer à cet instant, car le volant n'est pas encore monté ni la came d'ailleurs.

Passons à la commande d'accélérateur. Avant de faire quoi que ce soit, je conseille de bien graisser la rotule.
Pose de la tige sur la biellette de renvoi.

Mise en place d'une fine rondelle grower.

Pose de l'écrou.

Serrage de l'écrou modérément.

Pose de la biellette sur l'axe de pédale. Il faut être à deux pour cette opération sinon on y arrive pas et on enrage...

Pose de la vis et on serre modérément.

Après bien des semaines voir des mois sans toucher au moteur, le moment de lui porter l'estocade finale est enfin arrivé.
La boite est fin prête, le moteur aussi. Je vais pouvoir réassembler ces deux êtres qui ne sont rien l'un sans l'autre ...

Mais, laissons dame nature travailler maintenant...

Pose du roulement de volant moteur. Je vous ai indiqué sa ref au marqueur sur la boite.

Un des rares roulement à se poser seul sans aucun matériel.

Pose du volant moteur. prendre bien soin de faire correspondre tous les trous ensemble, sinon galère pour le fixer.

J'enduis les vis d'un peu de loctite frein filet bleu par sécurité.

Pose des vis.

Serrage des vis au couple de 5 mkg ou 50 Nm.

Préparation du mécanisme d'embrayage. Ayant acquis récemment un centreur universel, je vais l'essayer pour la première fois.

Pose du centreur.

Serrage léger du centreur. Ensuite, il faut retourner l'ensemble pour centrer visuellement le disque par rapport au mécanisme (très facile au passage). Une fois la position trouvée, on serre un peu plus le centreur pour tout bloquer.

Pose du mécanisme.

Mise en place des vis.

Dépose du centreur.

Serrage des vis au couple de 2 mkg ou 20 Nm. Je serre mes vis en étoile pour ne pas trop faire travailler le mécanisme au voilage.

J'enduis de graisse (légèrement) les cannelures du disque afin de faciliter l'introduction de l'arbre de sortie de boite.

La boite de vitesse a été approchée au plus près du moteur car il faut la poser maintenant. Il est précisé d'enduire de pâte le plan de joint de la boite à cet endroit, car c'est ici qu'on peut avoir des fuites d'huile en provenance de l'arbre de commande de poulie d'AAC. En effet, il n'y a pas de joint spi comme aujourd'hui sur l'arbre à came. C'est une gorge spéciale usinée dans l'arbre de commande qui force l'huile à rester coté bloc moteur. Mais le moteur, une fois arrêté, peut laisser suinter de l'huile dans le carter d'embrayage avec qui vous savez à cet endroit...

Derniers instants avant de la voir réassemblée avec le moteur, presqu'un an après leur divorce forcé...

Étant seul ce jour là, j'ai dû prendre mon courage à deux mains pour rentrer la boite. Par miracle cela s'est bien passé, sauf qu'il a fallu la ressortir 3 fois car j'avais oublié de faire le joint et d'autres bricoles avant de la mettre en place.

Pose des vis et serrage de la boite sur le moteur. Ce fût un grand moment pour moi, car je sentais enfin qu'une grosse partie de la restauration était entrain de s'achever.

Nous voici enfin revenu à notre chère boite de vitesse.
Pose de l'arbre de liaison entre AAC et axe de sortie de commande des accessoires.

 

Utiliser un marteau et une cale, et frapper doucement. Si vous n'en êtes pas capables, demandez à votre conjointe de le faire...

Pose du roulement.

Mise en place du roulement à l'aide d'un maillet et d'un tube.

Pose de l'écrou bague.

Serrage de l'écrou à l'aide de la clé idoine... ne pas oublier de goupiller l'écrou (non montré ici).

Pose du support de traverse sur la boite de vitesse.

Mise en place des caoutchoucs silent-blocs.

Pose de la barre.

Pose des caoutchoucs supérieurs.

Finalement, j'opterai pour un montage dans les demi-coquilles car je n'ai pas pu faire autrement pour amorcer le serrage des vis.

Pose des chapeaux.

Pose des "rondelles" frein sur chaque étrier.

Mise en place du support sur l'AV de la boite.

Serrage de toutes les vis en même temps.

Pose des axes de réglage d'étriers AV.

Pose des vis.

Une fois posé, il faudra bien vérifier la rotation libre des silent-blocs.

Serrage des vis au couple camionesque de 2 mkg ou 20 Nm.

EPISODE 26
Suite de la restauration
"Rhabillage moteur, réfection dynamo, remontage pompe à essence
"
TOTO
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Fin de l'épisode 25

23 Mai 2006 15h07